Le déficit en testostérone, autrefois appelé « andropause » ou DALA (Déficit Androgénique Lié à l’Âge), reste un sujet méconnu. Un tabou qui laisse de nombreux hommes souffrir en silence alors que des solutions existent. Un syndrome silencieux et fréquent Contrairement à la ménopause féminine, qui marque un arrêt brutal de la production d’œstrogènes, la baisse de testostérone chez l’homme est progressive, mais ses répercussions peuvent être tout aussi profondes. Dès l’âge de

La sexualité ne disparaît pas avec les années, elle se métamorphose. Que l’on soit célibataire, en couple, jeune sénior ou octogénaire, le corps reste un territoire de plaisir, à condition de savoir l’écouter, de le réinvestir et de l’explorer avec bienveillance. 

À tout âge, la découverte et l’exploration du corps peuvent réserver de belles surprises. Chez les hommes, une petite zone érogène, discrète mais redoutablement efficace, reste trop souvent ignorée : le frein. Ce fin repli de peau situé sous le gland, riche en terminaisons nerveuses, peut pourtant être le meilleur allié des hommes pour enrichir leur sexualité, notamment passé 60 ans. On vous explique pourquoi ! Une anatomie du plaisir à redécouvrir Le frein, est une bande de

Fatigue, moral en berne, baisse du désir ? Et si c’était votre testostérone ? Avec l’âge, beaucoup d’hommes ressentent des changements : un peu moins d’énergie, un désir en baisse, une humeur moins stable, une prise de ventre…Et pourtant, peu savent que ces signes peuvent être liés à un déficit en testostérone, un trouble fréquent mais encore méconnu.   Ni tabou, ni inévitable — ce déséquilibre hormonal se comprend, se dépiste et se soigne. Lors de cette nouvelle conférence H

Si l'andropause peut chambouler le sentiment de virilité, elle peut aussi être l'occasion de redécouvrir et de réinventer sa sexualité.